Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

samedi 13 novembre 2010

Une histoire mondiale de la diaspora africaine

En étendant le concept d’ « Atlantique noir » à l’échelle mondiale, Patrick Manning réinscrit l’Afrique au centre de réseaux transnationaux qui se sont constitués au fil des siècles. Lieu d’échange et de mobilité, la diaspora aurait permis le développement de contre-cultures hybrides, qui participent à la construction de la modernité.
Patrick Manning, spécialiste de l’histoire de l’Afrique, est un des pionniers de l’histoire mondiale et de l’histoire globale. Professeur d’histoire mondiale à l’université de Pittsburgh et directeur de son Centre d’histoire mondiale (créé sous son impulsion en 1994), auteur du manuel d’histoire mondiale Navigating World History (2003), il est président du réseau international d’histoire mondiale (World History Network). Avec cet ouvrage de synthèse, il aborde ce que depuis les années 1950 on a appelé les Black Studies. Ce courant s’est développé aux États-Unis à partir des années 1960-1970, en lien avec le mouvement pour les droits civiques ; le premier département de Black Studies a été créé en 1968 à San Francisco, sous l’égide du sociologue Nathan Hare. Les « Black Studies » (ou « Afro-American Studies ») entendent étudier l’histoire et la culture des Noirs dans le monde entier, et leurs interactions avec le reste de la société.
http://www.laviedesidees.fr/Une-histoire-mondiale-de-la,1242.html

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