Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

samedi 1 janvier 2011

Les régions comme échelon opérationnel de la lutte contre le changement climatique

Ainsi donc, le processus de négociation internationale que l'on imaginait mort et enterré après le fiasco de Copenhague est parvenu à produire un accord acceptable et surtout inespéré à Cancun.
Ne boudons pas notre plaisir, l'habileté de la ministre mexicaine Patricia Espinosa tout autant que les avancées conjuguées des grands pays émergents – Chine, Inde et Brésil – ont rendu possible des décisions que d'aucuns croyaient inenvisageables il y a quelques jours à peine, et offrent à la communauté internationale trois sujets de satisfaction.
Les esprits chagrins objecteront certes que le texte final déploie des trésors de sémantique pour mettre tous les pays d'accord. Il n'en demeure pas moins que l'accord final reconnaît officiellement la nécessité d'infléchir significativement la courbe des émissions de gaz à effet de serre et que si ces efforts n'évoluent pas dans un cadre contraignant, le texte signé sur la riviera mexicaine sort la négociation internationale de la léthargie dépressive dans laquelle elle avait sombré et dont ni la réunion préparatoire de Bonn en juin, ni celle de Tianjin en octobre ne semblaient pouvoir l'en extraire. Le multilatéralisme est de retour ; il faut s'en féliciter.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/12/29/les-regions-comme-echelon-operationnel-de-la-lutte-contre-le-changement-climatique_1458393_3232.html

Les ravages de la religion

Wikileaks n’a pas fini de faire trembler les puissants. Et les menteurs également, ceux qui trompent tous les jours leur monde. Parmi ceux-ci figurent bien sûr des hommes d’Etat, mais aussi des hommes de religion, et parfois les deux à la fois, certains Etats ayant établi la prééminence de leurs leaders sur des bases religieuses. Les Emirats sont, dans ce sens, les victimes privilégiées de Wikileaks, qui a montré en effet leur incroyable duplicité. Depuis que Dubaï s’est effondré comme un château de cartes, on s’est aperçu (enfin) qu’il reposait véritablement sur du sable, et sur aussi pas mal de mensonges. En Arabie Saoudite, idem : la société présente deux côtés radicalement opposés : d’une part une jeunesse avide de vivre au XXIeme siècle, de l’autre un pouvoir tentant de la juguler avec des lois d’un autre âge. L’implosion est proche, tant cette disparité entre nouveauté et réaction devient flagrante.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ravages-de-la-religion-86277