Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

samedi 13 novembre 2010

L'économie sociale, laboratoire de la lutte contre la pauvreté

Pour lancer la troisième édition, en novembre, du "Mois de l'économie sociale et solidaire", les ministres de l'économie, Christine Lagarde, de la jeunesse et des solidarités actives, Marc-Philippe Daubresse, et le secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, Laurent Wauquiez, devaient installer, mardi 26 octobre, le nouveau Conseil supérieur de l'économie sociale et solidaire, instance nationale représentative des quatre grandes familles du secteur - associations, coopératives, mutuelles et fondations -, dont le périmètre s'élargit en 2010 aux entreprises à finalité sociale.
La France, comme les Etats-Unis, le Royaume-Uni et d'autres pays, compte sur ce secteur, en cette période de restriction des finances publiques, pour jouer le rôle d'amortisseur social. Pour ne citer qu'un exemple, celui du Royaume-Uni, les entreprises sociales, soutenues dès 2002 pendant la deuxième mandature de Tony Blair, le sont toujours par l'actuel premier ministre conservateur, David Cameron, qui vient pourtant d'annoncer la suppression d'un demi-million d'emplois publics en quatre ans.
C'est une reconnaissance indirecte de l'impact économique du secteur. Lors de la présentation du "plan en faveur de l'économie sociale et solidaire", le 19 octobre, Marc-Philippe Daubresse n'a pas manqué de rappeler que l'économie sociale, omniprésente dans le quotidien des Français à travers les produits équitables, les crèches associatives ou les services à la personne, pèse 8 % du produit intérieur brut (PIB), 2,2 millions d'emplois salariés et quelque 215 000 établissements.
Mais les entreprises sociales sont-elles pour autant à même de réduire la pauvreté, qui croît avec la crise ? Les pouvoirs publics et les acteurs du secteur l'affirment.
"Face à la professionnalisation de l'économie sociale, ces dernières années, la tendance lourde a été de passer d'un financement par subvention à un financement par la contractualisation entre l'Etat et les entreprises sociales", remarque Jacques Defourny, directeur du Centre d'économie sociale de l'université de Liège et président d'EMES, un réseau de recherche européen sur l'économie sociale.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/10/25/l-economie-sociale-laboratoire-de-la-lutte-contre-la-pauvrete_1430716_3234.html

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