Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

mercredi 17 novembre 2010

Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre…
Depuis quelque temps des mots, voire des chroniques disparaissent, sans raison apparente et réapparaissent parfois, décalées dans le temps.
Je n’ai juste eu que quelques heures pour voir ce week-end, l’une d’elles qui parlait de spoliations, de médias et du journal Attypique avec deux « t ».
D’autres sont tout simplement « non publiées pour cause de non-conformité avec la charte », ce qui trouble certains d’entre vous, surtout lorsque vous cherchez ce qui ne serait pas conforme, que vous ne trouvez rien de discriminatoire, commercial ou subversif et que très simplement vous écrivez à la Rédaction, convaincu que c’est une erreur de modération. Il y a ces machines « modératrices » avec des listes de mots interdits et qui épurent les textes ainsi que l’outil grammaire et orthographe de votre ordinateur. Et puis des modérateurs humains souvent basés dans d’autres pays, parfois au bout du monde, qui maîtrisent mal notre langue, pas formés et extrêmement mal payés, engagés par des sociétés de service que les journaux utilisent pour économiser des correcteurs plus traditionnels et en interne qui leur coûteraient plus cher.
Là aussi la délocalisation fonctionne, mais c’est pareil pour tous les secteurs d’activité depuis le développement d’Internet et de la globalisation, mais lorsque l’objectif d’une société est de s’inscrire dans le développement financier, qu’on aime ou qu’on n’aime pas, les procédés de délocalisation avec ce que cela comporte de prédations en tout genre sur les pays et les hommes, restent compréhensibles, cohérents et logiques. La mondialisation induit une concurrence évidemment planétaire et survivre et gagner, pour les entreprises qui s’y meuvent est à n’importe quel prix.
http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2010/11/09/penser-sous-censure-si-vous-lisez-cette-chronique-c-est-que-tout-n-est-pas-entierement-perdu_1437416_3232.html

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