Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

samedi 13 novembre 2010

La justice face à la corruption internationale

La justice peut-elle aider les peuples, notamment ceux des pays du Sud, à lutter contre la corruption de leurs dirigeants, qui contribue à perpétuer mauvaise gouvernance et pauvreté ? La Cour de cassation a répondu par l'affirmative, mardi 9 novembre, dans un arrêt de principe qui ouvre aux organisations non gouvernementales (ONG) militant pour la moralisation de la vie publique un droit - jusque-là inédit en France - de saisir la justice.
C'est un progrès notable sur la voie d'une mondialisation de l'action en faveur des droits de l'homme. Cette décision confère aux ONG internationales un pouvoir considérable, mais aussi des responsabilités nouvelles.
La décision de la plus haute juridiction française va permettre l'ouverture d'une enquête visant à établir l'origine des fonds utilisés par trois chefs d'Etat africains pour acquérir à Paris un impressionnant patrimoine immobilier et une flotte de voitures de luxe. L'ONG Transparence International France (TIF), à l'origine de la plainte, soupçonne le Gabonais Omar Bongo (mort en 2009), le Congolais Denis Sassou Nguesso et l'Equato-Guinéen Teodoro Obiang, ainsi que leurs familles, du délit de "recel de détournement de fonds publics", autrement dit d'avoir utilisé l'argent de l'Etat pour s'enrichir. Pour TIF, il s'agit d'obtenir la restitution aux pays concernés des fonds potentiellement détournés.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/11/10/la-justice-face-a-la-corruption-internationale_1438046_3232.html

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