Any country's development was 20 years ago associated to the degree of modernisation and industrialisation generating its impact on society and economy. Actually considering the failure of such policy, a new approach is getting implemented by giving enfasis on the eradication of poverty. Ressources and finances are actually transferred and dedicated to the welfare of the people by direct investments to small business and entreprises, to informal business, street merchants, public market merchants and middle class people . Jusqu'à récemment le développpement d'un pays se référait aux programmes de modernisation des infrastructures et l'implantation de l'industrialisation. Ces programmes devraient entrainer dans leur sillage une transformation de la structure sociale et économique de ce pays. Malheureusement ces programmes n'ont pas généré les résultats escomptés. De nos jours une nouvelle approche se dessine en mettant l'accent sur la lute contre la pauvreté en investissant les ressources et les finances de ces programmes directement dans la lutte du bien-être social visant à dynamiser l'environnement économique traditionnel, à stabiliser le petit commerce.

samedi 27 novembre 2010

« Déglobalisation » : le terme est laid, OK. Mais ça veut dire quoi ?

L'inverse de la mondialisation ?
En ces temps de crise mondiale, financière et économique, certains économistes parlent de déglobalisation comme d'un fait, d'une réalité.
Dans cette perspective, la notion rend compte de l'évolution du commerce international, qui s'avèrerait désormais moins dynamique que dans la phase antérieure, et du fait que les échanges entre pays sont de plus en plus limités. Les pays émergents réorientent leur stratégie : l'attention est désormais moins portée sur les exportations que sur leur propre marché intérieur.
http://www.rue89.com/wieviorka/2010/11/22/quentend-on-au-juste-par-le-terme-deglobalisation-177176

Le Niger à la croisée des chemins : que faire ?!

Notre pays, le Niger vit aujourd’hui un des moments le plus inquiétant de son histoire tant les incertitudes sont grandes et les espoirs suscités par le processus de refondation de la République en passe de s’émousser. Les mêmes acteurs connus de tous pour ce qu’ils sont, refont surface et cherchent à briguer le suffrage du peuple qu’ils considèrent amnésique et crédule. Ils se débrouillent chacun du mieux qu’il peut à élaborer un discours trompeur plein de fausses promesses et de mensonges comme à leur habitude.
http://nigerdiaspora.info/politique/5922-le-niger-a-la-croisee-des-chemins-que-faire-

Hospitalité et hostilité dans l'ère de la mondialisation et du plurilinguisme

Hospitalité et hostilité dans l'ère de la mondialisation et du plurilinguismeTroisième colloque international du département des langues modernes de l'Université de Witwatersrand, Johannesburg, Afrique du Sud : 12-15 septembre 2011.
Ce colloque vise à réunir des universitaires de disciplines variées qui s'intéressent à la question de l'hospitalité et de l'hostilité dans l'ère de la mondialisation, ainsi qu'à une époque révolue, où l'idéal cosmopolite régnait suprême. Les questions de diversité culturelle, d'intégration, de globalisation, de plurilinguisme, d'identité et de créolisation des langues, entre autres, pourront être abordées. Les contributions présentées lors du colloque et des ateliers pourront faire l'objet de publication.
http://www.fabula.org/actualites/article41149.php

Vietnam: An 'Asian Miracle'?

Since the early 1990s Vietnam has experienced a spectacular decrease in poverty. The percentage of the Vietnamese population living below the poverty line fell from 58 % in 1993 to 14.5% in 2008. Twenty-five million people have thus emerged from poverty in 15 years. In urban areas in 2008, only 3.5 % of the population is considered to be poor, even though the cost of living continues to rise.Vietnam owes its people’s increase in wealth to the remarkable economic growth it has achieved over the past 20 years, one of the fastest in the world. The country thus recently entered the sphere of the emerging countries.
http://www.eurasiareview.com/world-news/asia/9986-vietnam-an-asian-miracle

Europe: Les Africains floués par les sociétés commerciales de téléphonie

Dans une correspondance adressée à Son Excellence Monsieur José Manuel Barroso Président de la commission Européenne, l'association African Development Initiative basée à Paderborn (Allemagne) par la voix de son président M. Leonard JAMFA vient d'attirer l'attention de cette institution européenne sur l’impact des pratiques commerciales des entreprises européennes du secteur des télécommunications sur la coopération Europe-Afrique. Selon le porte parole de cette association panafricaine, les irrégularités et des désagréments divers sont enregistrés chaque jour sur des cartes prépayées en vente sur le territoire européen etc.. L'intégralité de la lettre
http://www.camer.be/index1.php?art=12274&rub=11:1

Les organismes d'aide internationale font face à des défis en matière de leadership

Les organismes d'aide et de développement sont des experts en ce qui concerne la logistique et la mobilisation, mais, selon un nouveau sondage, leur impact est souvent limité en raison d'un niveau de leadership insuffisant et de problèmes de communication.
" Leadership and Talent Development in International Humanitarian and Development Organizations " (Le développement du leadership et du talent dans les organisations de développement et humanitaires internationales), un rapport du Center for Creative Leadership (CCL) et de People In Aid, s'appuie sur des entrevues réalisées avec des organismes de partout dans le monde. Il offre un aperçu des problèmes de gestion du talent et du leadership qui existent dans ce domaine important.
http://www.capital.fr/bourse/communiques/les-organismes-d-aide-internationale-font-face-a-des-defis-en-matiere-de-leadership-548344

samedi 20 novembre 2010

Un Québec en transition

Dans un nouvel ouvrage, l’historien Jocelyn Létourneau propose un autre regard sur le passé de notre société et envisage différemment son avenir
En cette ère de mondialisation, que doivent faire les Québécois d’héritage canadien-français de leur histoire et de leur identité? Et comment peuvent-ils tirer profit des apports de l’immigration sans se perdre de vue ni disparaître dans leur relation avec l’Autre? Ces questions complexes et fondamentales marquent l’actualité de bien des sociétés. Elles forment aussi le fil conducteur du plus récent livre de Jocelyn Létourneau, professeur au Département d’histoire, chercheur au CELAT et auteur de l’ouvrage Le Québec entre son passé et ses passages, paru le 12 novembre chez Fides.Ce livre de 250 pages a été finalisé par l’auteur lors d’un long séjour comme boursier Fulbright à Berkeley et à Stanford. Deux chapitres sont consacrés à l’épisode controversé de la conquête de la Nouvelle-France par les Britanniques en 1759. Selon Jocelyn Létourneau, l’idée que ces derniers soient les cofondateurs de la société québécoise chemine dans les esprits. Il en veut pour preuve, notamment, que quatre Franco-Québécois sur cinq s’accordent avec l’énoncé selon lequel les Anglais sont un des peuples fondateurs du Québec. «C’est élevé, soutient-il. Le résultat surprend. Il pourrait signifier que les Québécois ne souscrivent plus à la vision consacrée de leur société et de leur histoire. Une vision qui les présente toujours dans une relation d’opposition avec l’Autre, surtout l’“Anglais”. Une vision qui fait d’eux des perdants, des victimes et qui décrit leur parcours comme une série de rendez-vous ratés avec l’Histoire.»
http://www.aufil.ulaval.ca/articles/quebec-transition-29441.html

Pourquoi le leadership américain a perdu l’initiative

Une fois les élections de mi-mandat passées (2 novembre 2010), les responsables américains se retrouvent en face des problèmes d’argent de leur pays. Tout le monde est d’accord ici pour dire que le déficit et la dette ont atteint des niveaux insupportables ; que cet état de choses menace désormais directement la prospérité des États-Unis, leur leadership mondial et leur sécurité nationale ; et qu’il est impératif de mener une action énergique, tant dans le monde que sur le plan intérieur.
La politique étrangère est souvent une fonction de la politique intérieure Quelle est donc, à l’extérieur, l’action des États-Unis, sous la conduite du président Obama ? Les Américains cherchent à sauver la mondialisation économique et le libre échange, indispensables à leur type de leadership, tout en restaurant leurs grands équilibres, sans lesquels ils ne pourront pas non plus le maintenir. Il s’agit donc en grande partie de « faire payer les autres », mais ce n’est pas forcément (pensent-ils) aussi égoïste qu’il peut sembler. Car si ces « autres » sont prompts à se plaindre des USA, ils auraient autrement sujet de se plaindre de leur absence… Dans l’idée des Américains, leur leadership est pour le monde une sorte de service public, qui a un coût. Que font-ils donc ? En échange des efforts qu’ils sont résolus à faire, ils demandent un concours au monde extérieur.
1/ Ils cherchent à passer des accords bilatéraux avec plusieurs nations d’Asie, pour rééquilibrer leurs échanges commerciaux sans changer la règle du libre échange mondial ; 2/ ils voudraient modifier à leur avantage les termes des échanges en modifiant les parités monétaires ; 3/ ils voudraient que le monde entier adopte une politique en cohérence avec la leur, c'est-à-dire qu’il recherche prioritairement dans une nouvelle croissance mondiale mieux répartie la solution au problème des déficits. Car la politique opposée aggraverait sans doute leur dépression déjà sévère.
http://www.libertepolitique.com/la-paix-des-nations/6378-pourquoi-le-leadership-americain-a-perdu-linitiative

Improved rice availability and reduced environmental impact forecast through new GRiSP

Millions will escape hunger and poverty in a widening campaign to achieve global food security and deliver major environmental gains within 25 years
Hanoi, Vietnam – One of the worlds largest global scientific partnerships for sustainable agricultural development has launched a bold new research initiative that aims to dramatically improve the ability of rice farmers to feed growing populations in some of the worlds poorest nations. The efforts of the Global Rice Science Partnership, or GRiSP, are expected to lift 150 million people out of poverty by 2035 and prevent the emission of greenhouse gases by an amount equivalent to more than 1 billion tons of carbon dioxide.
An initiative of the Consultative Group on International Agricultural Research (CGIAR) and led by the International Rice Research Institute (IRRI) and its partners, GRiSP was launched in Hanoi today at the 3rd International Rice Congress. The new global initiative will lead scientists to embark on the most comprehensive attempt ever to deploy rices genetic diversity. Cutting-edge research aimed at discovering new rice genes and deciphering their functions will feed into accelerated efforts to break the yield barrier in rice and to breed new generations of climate-ready rice with flooding tolerance and other traits that are essential for adapting production in the face of climate change. The initiative is expected to boost supplies enough to reduce anticipated increases in rice prices by an average of at least 6.5% by 2020, and at least 13% by 2035.
http://stockmarketsreview.com/pressrelease/2010/11/14/improved-rice-availability-and-reduced-environmental-impact-forecast-through-new-grisp/

PASSAGE DE L’INFORMEL AU FORMEL - Les activités à grand potentiel de réussir d’abord

Est-ce qu’il est opportun de formaliser le secteur informel ? » Est qu’il est possible de le formaliser ? » Telles sont les interrogations que le Doyen de la Faseg de l’Ucad s’est posé pour apporter un éclairage sur ces deux secteurs. C’était lors d’un atelier international sur les migrations africaines, dont le thème est « la contribution de la recherche africaine aux théories des migrations ». Cette rencontre ouverte depuis hier lundi 15 novembre, doit se poursuivre jusqu’au 19 de ce mois.
L’activité informelle a des avantages et des inconvénients. « L’incontinent de taille c’est la faible productivité par rapport au secteur moderne ». Une explication que le Professeur Ahmadou Aly Mbaye a donnée lors de l’atelier international sur les migrations africaines, dont le thème est « la contribution de la recherche africaines aux théories des migrations ». Ainsi, au lieu de parler de formalisation de l’informel, « il faut essayer d’attirer vers le formel les activités qui ont le plus le potentiel de réussir dans le formel et de laisser au secteur informel son rôle social de support de sécurité », renseigne le Doyen de la Faseg. C’est dans ce sillage que le Professeur Ahmadou Aly Mbaye de déclarer : « s’il faut prendre une mesure de politique économique, il faut poser les avantages et les inconvénients ».
http://www.sudonline.sn/les-activites-a-grand-potentiel-de-reussir-d-abord-_298.html

mercredi 17 novembre 2010

Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre…
Depuis quelque temps des mots, voire des chroniques disparaissent, sans raison apparente et réapparaissent parfois, décalées dans le temps.
Je n’ai juste eu que quelques heures pour voir ce week-end, l’une d’elles qui parlait de spoliations, de médias et du journal Attypique avec deux « t ».
D’autres sont tout simplement « non publiées pour cause de non-conformité avec la charte », ce qui trouble certains d’entre vous, surtout lorsque vous cherchez ce qui ne serait pas conforme, que vous ne trouvez rien de discriminatoire, commercial ou subversif et que très simplement vous écrivez à la Rédaction, convaincu que c’est une erreur de modération. Il y a ces machines « modératrices » avec des listes de mots interdits et qui épurent les textes ainsi que l’outil grammaire et orthographe de votre ordinateur. Et puis des modérateurs humains souvent basés dans d’autres pays, parfois au bout du monde, qui maîtrisent mal notre langue, pas formés et extrêmement mal payés, engagés par des sociétés de service que les journaux utilisent pour économiser des correcteurs plus traditionnels et en interne qui leur coûteraient plus cher.
Là aussi la délocalisation fonctionne, mais c’est pareil pour tous les secteurs d’activité depuis le développement d’Internet et de la globalisation, mais lorsque l’objectif d’une société est de s’inscrire dans le développement financier, qu’on aime ou qu’on n’aime pas, les procédés de délocalisation avec ce que cela comporte de prédations en tout genre sur les pays et les hommes, restent compréhensibles, cohérents et logiques. La mondialisation induit une concurrence évidemment planétaire et survivre et gagner, pour les entreprises qui s’y meuvent est à n’importe quel prix.
http://www.lemonde.fr/idees/chronique/2010/11/09/penser-sous-censure-si-vous-lisez-cette-chronique-c-est-que-tout-n-est-pas-entierement-perdu_1437416_3232.html

Les riches sous la loupe des chercheurs

Un milliardaire sur dix dans le monde vit en Suisse et le pays compte 210'700 personnes disposant d’un capital supérieur à un million de dollars. Une équipe de sociologues de l’université de Bâle présente une étude consacrée au thème «Les riches en Suisse».
Etes-vous riche? Selon le professeur de sociologie Ueli Mäder et ses deux collaborateurs scientifiques Sarah Schilliger et Ganga Jey Aratnam, vous avez besoin d’une fortune d’au moins 30 millions de francs pour être ainsi qualifié. Et dès 100 millions, vous faites partie du club des super riches.Avec leur étude «Comment les riches pensent et dirigent», les sociologues ont observé les coulisses de la richesse en Suisse. Le pays est considéré comme l’un des plus riches du monde et, après Singapour et Hong Kong, dispose de la plus haute densité en millionnaires. Où et comment vivent les riches et les super riches? Qui sont-ils? Comment se situent-ils face aux clivages sociaux? En répondant à ces questions et en apportant un éclairage sur l’histoire de l’émergence de la richesse ainsi que sur son importance sociale et économique, les scientifiques présentent un livre intéressant sur le phénomène de la richesse en Suisse.
http://www.swissinfo.ch/fre/politique_suisse/votations/novembre_2010/detail/Les_riches_sous_la_loupe_des_chercheurs.html?cid=28653206

De l’inadaptation de la démocratie représentative à la révolution politique

Si la démocratie représentative était adaptée à un monde où l’information circulait peu, et l’accès au Savoir restreint, ce n’est plus le cas aujourd’hui. La conséquence en est l’inadaptation de la démocratie représentative qui appelle une profonde révolution politique.
Selon le Journal of the American Society for Information Science, la connaissance que détient l’humanité double tous les vingt mois ; la démocratisation d’Internet devrait encore accélérer le processus.
Cela signifie que la somme des connaissances qui circule rend le citoyen ou l’employé beaucoup plus critique envers ses dirigeants parce qu’il est à même de comprendre, juger et proposer. Nous savons également grâce aux neurosciences cognitives que sous l’influence de l’environnement social et culturel le cerveau déploie les ressources nécessaires pour progresser indéfiniment dans la connaissance.
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/de-l-inadaptation-de-la-democratie-84347

La mondialisation est-elle prématurée?

Face à l'échec de la mondialisation initiée par la gauche et la démocratie, une Europe aux jambes coupées, se voit aujourd'hui contrainte d'admettre, un peu trop tard, ses erreurs, lorsqu'elle prétendait et prévoyait l'assimilation de ces masses auxquelles elle avait ouvert démesurément ses portes.
Les éléments principaux à l'origine de cette débâcle sont : le manque de main d'œuvre, l'enfantement quasiment nul de la population européenne originelle, face à celle incontrôlée d'un Islam rampant et envahissant qui refuse l'intégration. L'Europe vieillissante n'a pas de descendants et sa civilisation tend lentement à disparaître.
Qu'est-ce au juste la mondialisation?
Le terme désigne le développement de liens d'interdépendance entre hommes et femmes, activités humaines et systèmes politiques à l'échelle du monde. Ce phénomène touche la plupart des domaines avec des effets et une temporalité propres à chacun. Il évoque aussi parfois les transferts internationaux de main-d'œuvre ou de connaissances.
Le phénomène de la globalisation de l'économie a été identifié par le Conseil européen de Turin comme un des défis majeurs auquel l'Union européenne doit faire face en cette fin de siècle. Il désigne un processus d'intégration économique croissante de l'économie mondiale dont les moteurs principaux sont les suivants :
• La libération des échanges internationaux et des mouvements de capitaux;
• L'accélération du progrès technologique et l'avènement de la société de l'information
http://www.lepost.fr/article/2010/10/27/2282541_la-mondialisation-est-elle-prematuree.html

Colloque "Enseignement du français : Approches innovantes" (Meknès, Maroc)

Repenser de nouvelles approches à enseigner se justifie par les changements que connaît la société. Ces notions de mondialisation et globalisation ont imposé une nouvelle vision dans la gestion de l'enseignement et de l'éducation. Les technologies de l'information et de la communication, les exploits d'Internet mettent à bout portant du grand public une quantité considérable d'informations et de savoirs. Ainsi, l'une des conséquences majeures de ce progrès est qu'il y a naissance d'un apprentissage individuel, notamment celui des langues, et qui s'est donné de nouvelles frontières que celle d'une salle de cours. Ce qui revient à dire qu'il faut instaurer une dynamique de changement et d'innovation des différentes composantes du système éducatif : les outils pédagogiques, l'infrastructure, les formations initiales et continues, les acteurs du processus éducatif (Ministère, formateurs, enseignants, apprenants…). Ces derniers devraient agir et participer, selon leur position, dans l'entreprise d'une nouvelle réforme.
http://www.fabula.org/actualites/article40483.php

samedi 13 novembre 2010

Le temps des réformes radicales

La leçon politique qu'il faut tirer de cette réforme des retraites est limpide : la radicalité des manifestations appelle à des refontes radicales. Le gouvernement l'a admis, qui évoque le lancement d'une réflexion sur des retraites par « points », « à la suédoise ». Datant de 1945, le système social français craque de partout. Dès que l'on déplace un peu un de ses membres, l'ensemble du vieux corps bouge, souffre et s'enflamme. La gravité de la crise tient à ce qu'il ne s'agit pas seulement d'une défense archaïque d'avantages acquis et de corporatismes. Il s'agit de cela, mais aussi de beaucoup plus.
La France est une société de rangs, devenus à la Révolution des statuts. Chacun d'eux offrait un métier avec, associée, une dignité. Comme la mondialisation a recomposé le système productif, le découpant en petits bouts, brisant les filières d'hier, délocalisant, désindustrialisant, comme la technologie a défeuillé les arbres des savoirs, tous les métiers d'hier ont changé, beaucoup ont disparu. Des statuts, demeurent les corporatismes qu'on dénonce, mais aussi une dignité disparue qu'on déplore. D'où la difficulté des réformes qui touchent le métier, mais aussi la valeur symbolique qui lui est attachée. D'où la radicalité de la rue. Il est temps d'une refonte complète, d'un nouveau compromis social, de ce que Philippe Herzog (1) nomme « redéfinir une vie collective ». L'ancien professeur d'économie marxiste, qui a rompu avec le Parti communiste et est devenu un ardent défenseur de l'Union, actuellement président-fondateur de l'association Confrontations Europe, propose dans un livre dense et riche des pistes sur ce qui peut encore nous unir dans la mondialisation. Il va au fond du débat sur les valeurs françaises et européennes.
http://www.lesechos.fr/opinions/chroniques/020878646793-le-temps-des-reformes-radicales.htm

Fin à Ouagadougou du Symposium de la CEDEAO sur le Développement

Burkina Faso — 250 chercheurs africains, académiciens, acteurs des organisations de la société civile et du secteur privé, représentants d’Institutions spécialisées régionales et internationnales ont confronté leurs idées sur le développement africain au cours d’un symposium sur le développement africain organisé par la CEDEAO du 3 au 5 octobre 2010 à Ougadougou.

Financée par l’Union Européenne, la rencontre aura permis aux participants de discuter plusieurs thèmes de développement qui préocupent le continent noir. Il s’agit entre autres des leçons du cinquantenaire des Indépendances, les origines des crises de développement en Afrique de l’Ouest, l’impact des crises de développement, l’impact des aides étrangères, le statut de la femme, la culture, les relations Occident/Afrique ; la globalisation, la mondialisation, l’intégration régionale, les NTICs, l’industrialisation, les libertés civiques et politiques, la monnaie unique, les causes de la pauvreté,les formes de lutte contre la pauvreté, le rôle de la société civile, les migrations, les conflits transfrontaliers, l’implication de la diaspora, la communication intravertie, la sécurité alimentaire, le rôle du secteur privé.
A la lumière des discussions, parfois nourries, les participants ont formulé une série de recommandations. Au nombre de celles-ci ont note la nécessaire réalisation d’une révolution agricole pour nourrir d’abord les populations, assurer la sécurité alimentaire, réduire la dépendance alimentaire, augmenter la production agricole et répondre aux besoins alimentaires des citoyens.
http://www.reussirbusiness.com/10841-Fin-a-Ouagadougou-du-Symposium-de.html

Regards croisés sur le patriotisme économique

Le patron: Henri Lachmann, Président du Conseil de surveillance de Schneider Electric"On ne peut pas sanctuariser la recherche dans les pays développés"
DR
Patriotisme économique: à priori, ce terme n'est pas adapté au raisonnement économique, objectif et rationnel. Il n'y a pas lieu de confondre patriotisme - qui est une vertu - avec protectionnisme et nationalisme. Les patrons ont un intérêt objectif, réel à contribuer à la santé de la France, et en particulier de son industrie. La nouvelle génération de patrons à la tête du CAC 40 a une vision beaucoup plus globale du monde et je la comprends. Ils n'ont pas de relations aussi étroites que leurs aînés avec les interlocuteurs français traditionnels (syndicats, collectivités locales ...). Mais les Français doivent aimer leur industrie et l'Etat doit créer un environnement propice à son développement. La formation aux métiers de l'industrie est absolument nécessaire et, bien entendu, il ne s'agit pas que des métiers manuels. Il faut aussi que les entreprises consacrent plus d'effort à la recherche et au développement. On ne peut pas sanctuariser la recherche dans les pays développés, puis faire fabriquer dans les nouvelles économies. Cela tiendrait du néo-colonialisme. La recherche et développement doit être proche du lieu de fabrication pour être mieux adaptée à la réalité des marchés.
http://www.lexpansion.com/entreprise/regards-croises-sur-le-patriotisme-economique_241198.html

Josée Verner se questionne sur l’utilité d’un forum sur la langue française

MONTREUX, Suisse - La ministre Josée Verner, responsable de la Francophonie dans le gouvernement Harper, s’interroge sur l’utilité d’un forum sur la langue française, considérant la place importante qu’elle occupe au sein des différents Sommets de la Francophonie.
L’idée de Jean Charest et d’Abdou Diouf d’organiser un forum mondial sur la langue française, dont la première édition aurait lieu à Québec, en 2012, ne déplaît pas à Josée Verner à prime abord, mais elle n’est pas convaincue que cela puisse être utile.
«Je ne veux pas me placer en porte-à-faux envers le premier ministre Charest, c’est une question d’appréciation et, à son appréciation à lui, ce n’est pas suffisant. Ce que je peux dire, c’est que c’est que [la langue française] est toujours à l’ordre du jour [lors des Sommets]», a indiqué Mme Verner, ministre de la Francophonie depuis 2006.
Selon la ministre, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se fait d’ailleurs un devoir de vérifier les efforts qui sont faits par les différents pays pour protéger et promouvoir la langue française. Ce fut le cas lors des Jeux olympiques de Vancouver, où le Canada a été félicité par l’OIF, affirme-t-elle.
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/10/20101025-232536.html

Une histoire mondiale de la diaspora africaine

En étendant le concept d’ « Atlantique noir » à l’échelle mondiale, Patrick Manning réinscrit l’Afrique au centre de réseaux transnationaux qui se sont constitués au fil des siècles. Lieu d’échange et de mobilité, la diaspora aurait permis le développement de contre-cultures hybrides, qui participent à la construction de la modernité.
Patrick Manning, spécialiste de l’histoire de l’Afrique, est un des pionniers de l’histoire mondiale et de l’histoire globale. Professeur d’histoire mondiale à l’université de Pittsburgh et directeur de son Centre d’histoire mondiale (créé sous son impulsion en 1994), auteur du manuel d’histoire mondiale Navigating World History (2003), il est président du réseau international d’histoire mondiale (World History Network). Avec cet ouvrage de synthèse, il aborde ce que depuis les années 1950 on a appelé les Black Studies. Ce courant s’est développé aux États-Unis à partir des années 1960-1970, en lien avec le mouvement pour les droits civiques ; le premier département de Black Studies a été créé en 1968 à San Francisco, sous l’égide du sociologue Nathan Hare. Les « Black Studies » (ou « Afro-American Studies ») entendent étudier l’histoire et la culture des Noirs dans le monde entier, et leurs interactions avec le reste de la société.
http://www.laviedesidees.fr/Une-histoire-mondiale-de-la,1242.html

La justice face à la corruption internationale

La justice peut-elle aider les peuples, notamment ceux des pays du Sud, à lutter contre la corruption de leurs dirigeants, qui contribue à perpétuer mauvaise gouvernance et pauvreté ? La Cour de cassation a répondu par l'affirmative, mardi 9 novembre, dans un arrêt de principe qui ouvre aux organisations non gouvernementales (ONG) militant pour la moralisation de la vie publique un droit - jusque-là inédit en France - de saisir la justice.
C'est un progrès notable sur la voie d'une mondialisation de l'action en faveur des droits de l'homme. Cette décision confère aux ONG internationales un pouvoir considérable, mais aussi des responsabilités nouvelles.
La décision de la plus haute juridiction française va permettre l'ouverture d'une enquête visant à établir l'origine des fonds utilisés par trois chefs d'Etat africains pour acquérir à Paris un impressionnant patrimoine immobilier et une flotte de voitures de luxe. L'ONG Transparence International France (TIF), à l'origine de la plainte, soupçonne le Gabonais Omar Bongo (mort en 2009), le Congolais Denis Sassou Nguesso et l'Equato-Guinéen Teodoro Obiang, ainsi que leurs familles, du délit de "recel de détournement de fonds publics", autrement dit d'avoir utilisé l'argent de l'Etat pour s'enrichir. Pour TIF, il s'agit d'obtenir la restitution aux pays concernés des fonds potentiellement détournés.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/11/10/la-justice-face-a-la-corruption-internationale_1438046_3232.html

L'économie après la mondialisation heureuse

Comment expliquer la crise du système capitaliste et l'impossibilité présente des Etats ou du G20 à reprendre la situation en main ? Depuis 1980, la conjoncture internationale, à mesure qu'elle se globalise, semble devenir de plus en plus insaisissable. Pratiquement aucun économiste n'avait prévu la dépression de l'été 2008 ou n'est simplement en mesure de prédire la conjoncture à moins de trois mois.
Fin 2010, alors que la croissance demeure atone aux Etats-Unis et dans la zone euro, bien peu d'experts sont véritablement en capacité de dire ce qu'il conviendrait de faire pour relancer l'économie. Le nouveau concept de "rilance" - rigueur d'un côté pour rassurer les marchés, relance de l'autre pour soutenir l'activité - ajoute à la perplexité.
En fait, cette propagation rapide de la crise financière à la sphère économique n'est-elle pas due au processus de globalisation lui-même ? L'interdépendance recherchée et souhaitée entre la finance et l'ensemble de l'économie mondiale est aujourd'hui effective. En période de croissance forte, cette interdépendance est potentiellement porteuse de profits. Sans régulation, les inconvénients de ce modèle sont néanmoins nombreux : explosion des inégalités, consommation rapide des ressources naturelles, écart grandissant entre zones de production et zones de consommation aboutissant à une économie de flux
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/10/29/l-economie-apres-la-mondialisation-heureuse_1432926_3232.html

Ghana scores high in study of gender in labour markets

A World Bank study titled Gender Disparities in Africa’s Labour Market,has shown that Ghana is among countries in Africa with a high percentage of women participating in the labour market. Ghana is rated as one of the countries having recorded 80% and above participation of women in the labour force.
Furthermore, Ghana is cited by the study as having the highest ratio of average female-to-male weekly labour income of 79 percent. The lowest ratio is 23 percent in Burkina Faso.
The study which has been published in a book, said that gender disparities were still a concern in Africa’s labour market.
Ewa Filipiak, project manager at Agence Française de Développement, and co-editor of the book is quoted as saying that “…women’s access to jobs is essential to the fight against poverty and reaching the Millennium Development Goals (MDGs), not just because of the direct contribution gainfully employed women make to the household, but also because it has been shown that well-paid jobs empower them to redirect spending on essential needs, notably in favor of children’s health and education.”
The study analysis household survey data collected in the early 2000 households in 18 countries across Africa, looking into gender dimensions in employment, unemployment, pay gap, as well as the role of educational attainment.
The countries studies are Burkina Faso, Burundi, Côte d Ivoire, Cameroon, Ethiopia, The Gambia, Ghana, Guinea, Kenya, Madagascar, Malawi, Mauritania, Mozambique, Nigeria, São Tomé and Príncipe, Sierra Leone, Uganda, and Zambia.
http://www.ghanabusinessnews.com/2010/11/03/ghana-scores-high-in-study-of-gender-in-labour-markets/

Advans SA Set to Open Microfinance Bank (MFB) Advans Bank Tanzania in December

Advans SA, a microfinance investment vehicle (MIV) registered in Luxembourg that mobilizes funds for microfinance institutions (MFIs), has announced that it has scheduled the opening of the first branch of its sixth microfinance bank (MFB), Advans Bank Tanzania, in Dar es Salaam in December of this year. Advans SA originally incorporated the MFI in July 2010 with initial investors including Advans SA as a majority shareholder and FMO (the Netherlands Development Finance Company) with a smaller stake. Advans Bank Tanzania will offer products such as microloans to small and medium-sized enterprises (SMEs), savings accounts in local and foreign currencies and money transfers. Advans Bank Tanzania has an initial capital of TZS 7.2 billion (USD 4.7 million) [1].
About Advans SA: Advans Group was created by Horus Development Finance of France with backing from Agence Francaise de Developpement (AFD), European Investment Bank (EIB), Nederlandse Financierings-Maatschappijvoor Ontwikkelingslanden N.V. (FMO), International Finance Corporation (IFC) and KfW Entwicklungsbank (KfW). Advans Group aims to create new microfinance institutions (MFIs) by investing as lead shareholder. LuxFLAG, an organization that certifies that microfinance vehicles actually invest in the microfinance sector, most recently certified Advans Group as of April 2010. Advans Group reported total assets of USD 15 million as of 2009.
http://www.microcapital.org/microcapital-brief-advans-sa-set-to-open-microfinance-bank-mfb-advans-bank-tanzania-in-december-2010/

L'économie sociale, laboratoire de la lutte contre la pauvreté

Pour lancer la troisième édition, en novembre, du "Mois de l'économie sociale et solidaire", les ministres de l'économie, Christine Lagarde, de la jeunesse et des solidarités actives, Marc-Philippe Daubresse, et le secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, Laurent Wauquiez, devaient installer, mardi 26 octobre, le nouveau Conseil supérieur de l'économie sociale et solidaire, instance nationale représentative des quatre grandes familles du secteur - associations, coopératives, mutuelles et fondations -, dont le périmètre s'élargit en 2010 aux entreprises à finalité sociale.
La France, comme les Etats-Unis, le Royaume-Uni et d'autres pays, compte sur ce secteur, en cette période de restriction des finances publiques, pour jouer le rôle d'amortisseur social. Pour ne citer qu'un exemple, celui du Royaume-Uni, les entreprises sociales, soutenues dès 2002 pendant la deuxième mandature de Tony Blair, le sont toujours par l'actuel premier ministre conservateur, David Cameron, qui vient pourtant d'annoncer la suppression d'un demi-million d'emplois publics en quatre ans.
C'est une reconnaissance indirecte de l'impact économique du secteur. Lors de la présentation du "plan en faveur de l'économie sociale et solidaire", le 19 octobre, Marc-Philippe Daubresse n'a pas manqué de rappeler que l'économie sociale, omniprésente dans le quotidien des Français à travers les produits équitables, les crèches associatives ou les services à la personne, pèse 8 % du produit intérieur brut (PIB), 2,2 millions d'emplois salariés et quelque 215 000 établissements.
Mais les entreprises sociales sont-elles pour autant à même de réduire la pauvreté, qui croît avec la crise ? Les pouvoirs publics et les acteurs du secteur l'affirment.
"Face à la professionnalisation de l'économie sociale, ces dernières années, la tendance lourde a été de passer d'un financement par subvention à un financement par la contractualisation entre l'Etat et les entreprises sociales", remarque Jacques Defourny, directeur du Centre d'économie sociale de l'université de Liège et président d'EMES, un réseau de recherche européen sur l'économie sociale.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/10/25/l-economie-sociale-laboratoire-de-la-lutte-contre-la-pauvrete_1430716_3234.html

Rainforest Alliance - Une alliance d’ONG locales pour préserver la biodiversité et les écosystèmes.

Dix-huit ans après le Sommet de Rio s’est ouverte cette semaine la conférence de Nagoya sur la biodiversité. 193 Etats membres des Nations Unies sont réunis pour tenter de lutter contre la disparition de la biodiversité et restaurer le capital naturel de la Terre.
Ces enjeux avaient déjà été identifiés comme majeurs en 1992, puis en 2002 avec l’engagement de stopper l’érosion de la biodiversité d’ici 2010. Un engagement loin d’être tenu car la biodiversité va toujours aussi mal : « La situation mondiale est alarmante car les pressions exercées sur la biodiversité ne cessent de s’intensifier », souligne la Commission Européenne dans son rapport d’évaluation du 8 octobre 2010 sur la mise en œuvre du plan d’action en faveur de la diversité biologique, qui fait le point sur la politique entreprise depuis 2006.
Pourtant, des initiatives sont prises, des avancées sont réalisées, des acteurs se mobilisent. Rainforest Alliance, qui fait partie des pionniers engagés dans ce combat, agit pour la préservation de la biodiversité et des écosystèmes depuis maintenant 23 ans.

Consultez nos experts - Experts à votre disposition pour parler du Rapport sur le développement humain du PNUD

OTTAWA, le 2 nov. /CNW/ - Le jeudi 4 novembre 2010, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) publiera le 20e Rapport sur le développement humain, intitulé La vraie richesse des nations : les chemins du développement humain. L'indice de pauvreté multidimensionnelle (MPI) conçu par l'Oxford Poverty and Human Development Initiative - initiative que finance le Centre de recherches pour le développement international (CRDI), organisme canadien - y figure pour la toute première fois.
Deux des grands experts en mondialisation et pauvreté au CRDI sont disponibles pour parler de cette nouvelle mesure de la pauvreté et, de façon plus générale, des constatations contenues dans le rapport.
Rohinton Medhora, vice-président, Programmes, et expert en finance internationale
Edgard Rodriguez, spécialiste de programme principal, expert en mondialisation et pauvreté
L'indice permet de voir la pauvreté et la prospérité au sein des pays d'un oeil nouveau. Il est révolutionnaire en ce qu'il complète la mesure monétaire de la pauvreté utilisée couramment en prenant en compte plusieurs facteurs au sein des ménages, dont le niveau de vie de base et l'accès à l'instruction, à de l'eau salubre et aux services de santé. Par exemple, le nouvel indice révèle qu'il y a davantage de pauvres dans huit États de l'Inde que dans les 26 pays d'Afrique subsaharienne. Toujours selon cet indice, si la population de l'Ouzbékistan est pauvre sur le plan du revenu, elle est toutefois alphabétisée et en santé, alors qu'en Éthiopie et au Mali, les pauvres disposent peut-être de plus d'argent, mais n'ont guère accès à la santé et à l'éducation.
Le Rapport sur le développement humain tient lieu de baromètre de la pauvreté et de la prospérité à l'échelle planétaire. Au fil des ans, le rapport a démontré que croissance économique et développement humain ne vont pas nécessairement de pair. Le rapport de cette année sera lancé par Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations Unies, Helen Clark, administratrice du PNUD, et Amartya Sen, lauréat d'un prix Nobel.
À propos du CRDIComment cultiver des aliments plus sains, en plus grande quantité ? Comment préserver la santé ? Et comment créer des emplois ? Voilà quelques-unes des questions auxquelles les collectivités pauvres doivent trouver réponse afin de se donner des moyens d'action. Le CRDI appuie des travaux de recherche dans les pays en développement justement afin de trouver réponse à ces questions. ll veille aussi à promouvoir la diffusion des connaissances ainsi acquises auprès de responsables des politiques, de chercheurs et de collectivités de par le monde. Il en résulte des solutions locales, novatrices et durables, qui offrent des choix aux personnes qui en ont le plus besoin et font changer les choses.
http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2010/02/c8107.html